La Guadeloupe est-elle dangereuse ?

L’Ă®le de Guadeloupe est le dĂ©partement français d’outre-mer (jusqu’en 2007, les Ă®les de Saint-Martin et de Saint-BarthĂ©lemy en faisaient Ă©galement partie) et Ă cĂ´tĂ© de la Martinique ; et les Guayens français appartiennent Ă l’Union europĂ©enne, contrairement Ă de nombreux autres territoires dĂ©pendants français (billets en euros) sont montrĂ©s dans des cadres et de petites cartes discrètes sous la carte de l’UE des territoires d’AmĂ©rique centrale et du sud).
Plan de l'article
L’Ă®le de Guadeloupe
L’Ă®le de Guadeloupe ressemble Ă un papillon avec ses ailes Ă©tendues, et chaque aile est en fait une Ă®le, entre laquelle se trouve un dĂ©troit marin Ă©troit avec une largeur de rivières tchèques de taille moyenne. Cette Ă©troite bande de mer appelĂ©e la rivière SalĂ©e (Rivière-SalĂ©e) est enjambĂ©e de deux ponts, ce qui n’a en pratique qu’aggravĂ© l’impression d’une Ă®le de la Guadeloupe.
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Cependant, les deux Ă®les sont complètement diffĂ©rentes et diffĂ©rentes, comme si elles n’avaient mĂŞme pas menti. Ă seulement quelques mètres de distance. L’Ă®le orientale de Grande-Terre est une plaine presque sans bosse, il y a de grandes villes et est beaucoup plus adaptĂ©e au tourisme dans le sens du loisir (abondance d’hĂ´tels et d’installations similaires ; magnifiques plages de sable blanc, d’eau cristalline et de palmiers entrant dans la mer…).
En revanche, l’Ă®le occidentale de Basse-Terre (Ă©galement appelĂ©e Guadeloupe) est montagneuse, recouverte en grande partie de forĂŞts, globalement plus propre, plus calme et beaucoup plus agrĂ©able et plus intĂ©ressante — idĂ©ale pour les voyages en plein air ou « aventure ». Il existe de vastes mangroves dans les zones oĂą les Ă®les se confondent.
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La Guadeloupe comprend Ă©galement les Ă®les de Marie-Galante, DĂ©sirade et Les Saintes. Comme dĂ©jĂ mentionnĂ©, l’ancienne Ă®le lointaine de Saint-BarthĂ©lemy (Saint-BarthĂ©lemy) et une partie de l’Ă®le de Saint-Martin (Saint-Martin), l’autre moitiĂ© de l’Ă®le appartient aux Antilles nĂ©erlandaises et porte le nom nĂ©erlandais Sint. Maarten).
La Guadeloupe utilise officiellement (et presque exclusivement) le drapeau français, mais il existe Ă©galement plusieurs drapeaux non officiels de la Guadeloupe, dont le plus cĂ©lèbre est une variante avec soleil, canne Ă sucre et lis (basĂ© sur l’emblème) ou un drapeau identique au drapeau du Suriname, diffĂ©rent peut-ĂŞtre seulement dans le rapport d’aspect ou la largeur des bandes.
Le centre administratif, d’oĂą la capitale du territoire dĂ©pendant est Basse-Terre, mais en fonction de la population, la Pointe-Ă -Pitre, beaucoup plus grande situĂ©e dans le centre de la Guadeloupe — physiquement sur Grande-Terre, cependant, comme entre les deux Ă®les. Pointe-Ă -Pitre constitue une agglomĂ©ration assez importante avec de nombreuses villes et municipalitĂ©s environnantes, et constitue de facto le centre de tous les Ă©vĂ©nements sur les Ă®les.
La Guadeloupe est une Ă®le civilisĂ©e avancĂ©e dont l’articulation principale est la canne Ă sucre (sucre et rhum) et le tourisme. Les Mulati constituent la grande majoritĂ© de la population. Leur mentalitĂ© est, je dirais, Ă moitiĂ© noire et Ă moitiĂ© française… Comme la plupart des Français, personne ici ne vous remarquera mĂŞme, personne ne vous conseillera ou ne s’aidera lui-mĂŞme, tout le monde est extĂ©rieurement comme « lui-mĂŞme pour lui-mĂŞme »… Suivant le modèle des noirs africains, les gens sont initialement inaccessibles, mais une fois « sous leur peau », ils sont absolument parfaits… Contrairement au français continental ici, on ne rencontre presque pas ce nationalisme français typique et mĂŞme l’anglais est beaucoup plus courant ici. MĂŞme si le français est un discours officiel Ă cĂ´tĂ© du crĂ©ole, tout le monde est conscient du fait que l’anglais est plus ou moins une langue internationale, c’est pourquoi tout le monde essaie de raisonner, mĂŞme s’il s’agit d’un anglais rĂ©fractĂ© ou de quelques mots…
Comme n’importe quel endroit du Nouveau Monde, l’histoire est très jeune et donc les villes et les monuments correspondent de ce fait. Les villes sont plutĂ´t terne, sans intĂ©rĂŞt et ce qui n’est pas très gratifiant dans nos proportions europĂ©ennes. Sur le plan architectural, il n’y a presque rien Ă voir ici. Cependant, la nature sur les Ă®les est d’autant plus agrĂ©able.
Transport vers la GuadeloupeÂ
La Guadeloupe possède un nouvel aĂ©roport international moderne (le Raizet) près de Pointe-Ă -Pitre, l’un des neuf dans les Petites Antilles qui conviennent aux vols ocĂ©aniques et aux opĂ©rations de gros avions (d’autres sont en Martinique, Sainte-Lucie, Barbade, Grenade, Antigua, dans la partie nĂ©erlandaise) de Saint-Martin, et deux dans les Ă®les Vierges amĂ©ricaines).
Le transport entre l’Europe et la Guadeloup ne pose donc aucun problème. Le moyen de transport le plus pratique vers la Guadeloupe est avec Air France de Prague Ă Pointe-Ă -Pitre avec transfert Ă Paris. Il suffit d’ĂŞtre prudent lors du transfert : dans un sens, il est transfĂ©rĂ© Ă l’aĂ©roport Charles de Gaulle et dans l’autre Ă Orly. Les deux aĂ©roports se trouvent Ă l’opposĂ© de Paris — le trajet peut Ă©galement ĂŞtre atteint en 45 minutes, mais c’est plutĂ´t une exception.
Tout au long de la journĂ©e, il peut s’Ă©tendre jusqu’Ă 3 heures. Les bus d’aĂ©roport d’Air France circulent entre les aĂ©roports : un trajet s’Ă©lève Ă environ 400 CZK et un billet peut Ă©galement ĂŞtre achetĂ© dans la succursale de Prague d’Air France (septembre 2002). Le vol au dĂ©part de Prague, y compris le transfert, dure 10-11 heures. Le billet aller-retour incluant les frais d’aĂ©roport coĂ»te environ 26 000 CZK (avril 2013). Une alternative plus coĂ»teuse est un vol avec KLM via Amsterdam. Les autres options (vols Ă travers les États-Unis, le Canada et moins) sont très peu Ă©conomiques. Un voyage Ă travers une autre Ă®le des CaraĂŻbes (par exemple en passant par Londres vers Sainte-Lucie, la Barbade ou la Grenade, ou via Paris ou Amsterdam jusqu’Ă Saint-Martin) est Ă©galement possible.
Les deux principales Ă®les de la Guadeloupe (Grande et Basse-Terre) sont les suivantes : reliĂ©s par des ponts. Entre la Grande Terre et les autres Ă®les de la Guadeloupe (Grande-Terre, Marie-Galante et Les Saintes), ainsi que la Dominique, la Martinique et Sainte-Lucie, il fonctionne très bien, rapidement et relativement bon marchĂ© Ă droite. Il s’agit de catamarans Ă double coque rapides et puissants exploitĂ©s par trois entreprises : L’Express des Iles, Caribbean Ferries et Brudey Frères.
Le prix et le nombre de connexions conviennent le mieux Ă L’Express des Iles, Caribbean Ferries et Brudey Frères est tout Ă fait inappropriĂ©. Les billets aller-retour sont beaucoup moins chers, il est pratique de combiner le billet, c’est-Ă -dire de s’arrĂŞter sur les Ă®les après le voyage.
L’horaire doit ĂŞtre informĂ© Ă l’avance — il m’est arrivĂ© que sur cinq navires par semaine entre la Martinique et le Sv Lucia, il ne restait que deux navires et les autres jours. Les croisières des trois entreprises se dĂ©roulent presque en mĂŞme temps… !
S’il y a deux liaisons Ă Sainte-Lucie par semaine, par exemple le vendredi et le dimanche, toutes les entreprises voyagent ces jours-ci (!) — les cinq autres jours ne sont pas connectĂ©s ! Le trajet entre les Ă®les dure 75 Ă 100 minutes, un retard courant causĂ© par des retards dans le port oĂą il y a gĂ©nĂ©ralement un Ă©norme chaos et un Ă©crasement. L’exception est le port de Pointe-Ă -Pitre, qui est nouveau (depuis le dernier ouragan) et très moderne, la pire situation est Ă Fort-de-France.
Pour une nature plus faible, je recommande de prendre Kynedril ou des comprimĂ©s similaires avant de voyager… Les catamarans naviguent très rapidement (peut-ĂŞtre 70 km/h) Ă cette vitesse copient le niveau et il n’arrive donc pas rarement que la haute mer s’incline et saute jusqu’Ă une hauteur de, la diffĂ©rence de hauteur entre l’avant et la poupe Ă©tant considĂ©rable ! Selon des informations non vĂ©rifiĂ©es, il existe Ă©galement un lien avec la DĂ©sirade de Saint-François, Les Saintes (les deux grandes Ă®les) Ă©galement depuis Basse-Terre et Trois-Rivières et entre Saint-Martin et Saint-BarthĂ©lĂ©my (apparemment il y a aussi quelques autres connexions).
La liaison maritime officielle vers les autres Ă®les des CaraĂŻbes ne fonctionne pas et il ne reste donc plus que le transport aĂ©rien. Chaque Ă®le dispose d’au moins un aĂ©roport pour atterrir de petits avions jusqu’Ă trente Ă cinquante les gens, bien sĂ»r, c’est un moyen de transport très coĂ»teux. Le prix peut ĂŞtre jusqu’Ă la moitiĂ© du prix d’un vol en provenance d’Europe, avec une diffĂ©rence très marquĂ©e entre un aller simple et un billet aller-retour.
Transport en Guadeloupe (Basse et Grande-Terre)
Curieusement, il n’y a pratiquement (apparemment) pas de navigation cĂ´tière rĂ©gulière… Il n’y a pas beaucoup de trafic sur la mer environnante. Il y a peut-ĂŞtre quelque chose comme des croisières charter ou des croisières en ordre, mais quelque chose comme une liaison de ligne dont je n’ai pas entendu parler.
Les sociĂ©tĂ©s de location de voitures fonctionnent assez facilement, mais les prix sont vraiment inimaginables (j’ai rencontrĂ© des Belges et des Français dans une voiture empruntĂ©e et tous ces « riches capitalistes » se sont plaints de loyers trop chers ; et prix du tout). Les taxis peuvent ĂŞtre utilisĂ©s principalement pour le transport en dehors des principaux itinĂ©raires ou vers l’aĂ©roport, etc., en bref lorsque d’autres moyens ne sont pas possibles ou compliquĂ©s. Tout au long de la journĂ©e, il n’est pas difficile de prendre un taxi n’importe oĂą dans la rue, le soir et surtout la nuit, la situation est très mauvaise. Les minibus circulent frĂ©quemment et abondamment.
Dans les conditions locales, ils sont les transports publics les moins chers et restent plutĂ´t chers (environ 2€ par trajet de 15 km, selon l’itinĂ©raire). Il n’y a peut-ĂŞtre pas d’horaires en Guadeloupe, mais les bus circulent si souvent qu’ils ne sont pas nĂ©cessaires. Dès le premier arrĂŞt, le minibus est plein (gĂ©nĂ©ralement 13 personnes). Les bus sont marquĂ©s par la première et la dernière ville, certaines par plusieurs autres villes au milieu de la route. Le minibus se rend toujours Ă ces endroits, mais l’autre itinĂ©raire change parfois de façon opĂ©rationnelle.
Il y a plusieurs arrĂŞts, mais vous pouvez descendre et monter Ă bord partout, mĂŞme si c’Ă©tait après 50 pieds. Les bus circulent entre six et sept heures et demie… Après sept heures du soir, il n’est plus possible d’aller nulle part ! ! ! Le moyen le moins cher, le plus radieux et le plus fiable est l’arrĂŞt automatique. Il existe un rĂ©seau routier de qualitĂ© en Guadeloupe et la circulation est très bonne sur les routes principales. Il n’y a aucun problème Ă arrĂŞter une voiture et mĂŞme pas lors de raids ou directement sur les autoroutes.
En règle gĂ©nĂ©rale, en suivant les règles de base de la piste automatique, vous partez dans un dĂ©lai d’une demi-heure Ă une heure. Si vous parlez au chauffeur, vous dĂ©couvrirez Ă quel point ces personnes inaccessibles sont accessibles et gĂ©niales, et il est certain que huit personnes sur 10 vous emmèneront oĂą vous le souhaitez sans y aller elles-mĂŞmes. Il m’est mĂŞme arrivĂ© que j’ai arrĂŞtĂ© ma voiture Ă Pointe-Ă -Pitre, le conducteur s’est dirigĂ© Kamsi au nord de l’Ă®le Grande-Terre et m’a toujours conduit Ă voir Sainta-Rose sur Basse-Terre, s’Ă©tendant ainsi sur deux fois 35 km ! C’est pire dans l’obscuritĂ© (quand il n’y a plus de bus), mais j’ai toujours rĂ©ussi Ă le faire.
Quand la piste de voiture est en plus du familier Il faut se souvenir des règles de l’auto-stop pour trois autres : pas suivi avec un pouce droit ! ! ! (ce geste signifie dans les CaraĂŻbes qu’il y a un danger sur la route et les conducteurs doivent donc accroĂ®tre la prudence). Il trace avec un index tendu pointant lĂ©gèrement vers la chaussĂ©e ! Le deuxième fait très important est le fait qu’il est impossible de passer longtemps Ă choisir l’endroit le plus appropriĂ©. Vous ne trouverez pas un endroit aussi adaptĂ© aux pistes Ă certains endroits, et les chauffeurs locaux peuvent s’arrĂŞter Ă peu près n’importe oĂą. C’est presque une nĂ©cessitĂ© de ne pas faire d’auto-stop, mais sur place ! Le climat ocĂ©anique tropical est absent et ne permettra pas de longues marches avec des bagages, il faut se rappeler que dans un tel climat, une personne est Ă moitiĂ© fatiguĂ©e auparavant et pas rarement instable.
Le moyen Ă©prouvĂ© est d’arriver uniquement dans la première ombre (Ă moins qu’il ne soit dans un endroit extrĂŞme) et de faire du stop jusqu’Ă ce que la voiture s’arrĂŞte. Le troisième point important est Ă©troitement liĂ© Ă Au-dessus… « Si je transfère », j’essaie de faire en sorte que le premier chauffeur m’amène, de prĂ©fĂ©rence, au-delĂ de la ville et de prĂ©fĂ©rence dans un endroit appropriĂ©. En fait, sur une Ă®le de cette taille, tout est assez proche, mais mĂŞme il est inappropriĂ© de parcourir de plus longues distances Ă pied. Avec suffisamment de temps, il est possible que seule la marche sans bagage soit recommandĂ©e.
ForĂŞt MĂ©tĂ©o et climat/vĂŞtements : Il ne sert Ă rien de mentionner le nombre de diplĂ´mes, etc., car ces informations sont couramment disponibles sur Internet et peuvent ĂŞtre très trompeuses. L’essentiel est que la saison touristique va parfois de janvier Ă fĂ©vrier Ă juillet et aoĂ»t, lorsque le temps est relativement plus froid (cependant, on dit que la diffĂ©rence n’est pas si perceptible). La situation en septembre quand j’Ă©tais sur l’Ă®le de moi semble assez effrayante et inimaginable pour une personne ignorante et invoyageable… ! La tempĂ©rature varie autour de 30 Ă 35 heures par jour °C (un peu moins la nuit). Cela semble relativement tolĂ©rable… mais c’est une erreur ! Il y a un climat ocĂ©anique tropical, et le plus dĂ©sagrĂ©able est donc l’humiditĂ© incroyable de l’air. C’est comme si vous Ă©tiez montĂ© dans la serre du jardin botanique et que vous n’en Ă©tiez sorti qu’au moment de monter Ă bord de l’avion ; je dirais mĂŞme que c’est un peu pire ! Le vent ne bouge presque pas sauf Ă l’exception (autre c’est Ă la pĂ©riode de « l’ouragan »), l’ombre Ă regarder… Le climat est agrĂ©able pendant trois heures par nuit…
Vous ĂŞtes en une seule pièce humide, le linge lavĂ© sèche, mais jamais tout Ă fait sec… Ă 9 heures du matin, lorsque la tempĂ©rature monte Ă trente degrĂ©s, il y a plus de rosĂ©e dans l’herbe que le matin ! La saison des pluies, que tout le monde Ă©vite, s’est avĂ©rĂ©e absolument inoffensive… C’est une conjecture commune Ă©trange sur plusieurs jours de fortes pluies sans cesser. Les pluies durent des mois, mais il ne s’agit surtout que de quelques minutes d’averses. Auparavant, encore plus par jour, mais entre eux il y a un temps merveilleux, toute pluie de ce type peut rester sèche et tombe gĂ©nĂ©ralement entre une ou deux cigarettes. Il pleut juste une heure, deux. Personnellement, j’Ă©tais beaucoup plus Ă l’aise dans les forĂŞts, oĂą l’humiditĂ© est la mĂŞme, sinon plus grande, mais elle n’est pas si chaude et donc Ă©touffante. Pour ceux qui savent, par exemple, en Afrique du Nord, oĂą la tempĂ©rature a besoin de 40 °C, je dois dire qu’elle est beaucoup plus agrĂ©able que 30 °C dans les CaraĂŻbes.
Ma consommation moyenne Ă©tait de quatre tours par jour (et je les ai toujours portĂ©s jusqu’Ă ce qu’ils soient complètement trempĂ©s, lorsque la sueur actuelle s’en sortait). Il est intĂ©ressant de noter que, contrairement Ă nos conditions, la sueur ne se fait pas sentir du tout, mais mĂŞme vous avez toujours besoin de lessive ! Si vous mettez des vĂŞtements en sueur dans un sac en plastique (pour ne pas tremper les autres vĂŞtements) en quelques minutes, ils infuseront d’une manière tellement incroyable qu’ils ne peuvent pas ĂŞtre lavĂ©s avec du savon, du shampoing ou des vĂŞtements similaires. Les voyages sont importants ! Ne pas sentir la sueur, mais je dirais comme de l’ammoniac pur.
Des vĂŞtements, il n’a aucun sens d’emporter des choses chaudes avec vous (mĂŞme les nuits ne sont pas froides). Vous n’avez pas besoin de pantalons longs, de sweat-shirts ou de t-shirts Ă manches longues. Suffisamment de t-shirts en coton Ă manches courtes, peut-ĂŞtre des sous-vĂŞtements (ils ne conviennent pas Ă cause de la sueur — Ă©ruptions cutanĂ©es Ă l’aisselle, etc.), des shorts de prĂ©fĂ©rence en tissu ou en coton et des chaussettes (cela ne suffit que jusqu’aux villes) – pas nĂ©cessaire. En effet, rien d’autre n’est nĂ©cessaire, sauf peut-ĂŞtre des maillots de bain et des mouchoirs, ce qui va sans dire. Chaussures — sport bien ventilĂ©, ou sandales. J’ai fini avec des pantoufles sans exception, mĂŞme dans les forĂŞts et pendant la saison des pluies.
Grande Anse HĂ©bergement : Je mentionne que les auberges les moins chères de type 1 lit, un ventilateur (parfois pas mĂŞme) sont de 450 Ă 500, -CZK par personne et par jour et Je ne continuerai intentionnellement pas dans les hĂ´tels ou autres Ă©tablissements, car il s’agit principalement de plusieurs milliers d’articles (seulement très indicatifs Ă partir d’environ 110€). Le moyen le plus simple et le plus sĂ»r est de faire des tentes. Dormir sous la lueur n’est pas possible en raison de l’humiditĂ© humide — tout serait complètement trempĂ© le matin ! Il est nĂ©cessaire d’avoir une tente de haute qualitĂ© avec des valeurs Ă©levĂ©es de colonne d’eau, car ces courtes averses ont tendance Ă ĂŞtre très abruptes (la vitesse de la chute de vol et l’impact subsĂ©quent sur le tropiko correspondent, je pense, Ă cinq mètres de la colonne d’eau), semblable au sol – chaque matin, il y a de la pluie sous la tente, parfois des flaques d’eau… (une personne agenouillĂ©e agit sur le sol de la tente avec un poids correspondant Ă dix mètres de la colonne d’eau). La tente doit ĂŞtre très bien enroulable avec la possibilitĂ© de faire fonctionner des trous de ventilation de l’intĂ©rieur, en raison de pluies soudaines, et comme vous sentez chaque kilo qui se trouve dans le sac Ă dos, il devrait ĂŞtre comprĂ©hensible Le plus lĂ©ger possible : les barres duralumin constituent un choix sans ambiguĂŻtĂ©. Il n’est certainement pas payant sur la tente d’Ă©pargner.
Il n’y a pas besoin de sac de couchage, mais au moins un chiffon ordinaire pour dormir. Lorsque vous dormez sur le sol nu de la tente, vous n’attendez que de vous rĂ©veiller la nuit — vous allez constamment coller et vous rĂ©veiller ! La tente est officiellement autorisĂ©e en Guadeloupe. Je ne sais pas oĂą cela ne doit pas se produire, mais c’est possible en principe presque partout. Les plus appropriĂ©es sont les plages, car il y a gĂ©nĂ©ralement des douches et de l’eau douce, mais je dormais souvent le long des routes, Ă la lisière de la forĂŞt, etc. Seules les grandes villes, les environs de mangroves et les plages supposĂ©ment « dĂ©sertes », c’est-Ă -dire des plages situĂ©es en dehors de la civilisation, des plages près desquelles il n’y a pas de maison. De temps en temps, des groupes de junkies sortent sur de telles plages « dĂ©solĂ©es » (et qu’ils sont bĂ©nis) et volent les touristes… Campy est ici aussi, mais je ne les ai pas essayĂ©s — il n’y en a pas besoin.
Nourriture et boisson :
Que faut-il Ă©crire sur la nourriture… ? Il est clair que la nourriture est partout, c’est suffisant et c’est bon, mais… mais pour l’argent… pour l’orientation, je dirai que la moitiĂ© de la baguette est de 100 Ă 150 CZK ! Je veux dire, au moins quelques conseils… moins chers Ă acheter dans les hypermarchĂ©s. Certains fruits ne sont pas trop chers, parfois moins chers du poisson ou des conserves — je ne recommande pas la viande en conserve — pour 2 Ă 3€, vous obtenez un petit corned-beef au goĂ»t terrible et pas rarement « fatiguĂ© » (parfois mĂŞme dans les super marchĂ©s et les hypermarchĂ©s). Le lait hollandais est bon marchĂ© et excellent (litre Ă 1€). Pour manger dans les restaurants et dans la rue, vous avez vraiment besoin de beaucoup d’argent.
Vous avez donc le choix soit de dĂ©penser des tas de fonds pour la nourriture locale, soit de dĂ©savouer et de manger l’emporter avec vous (cependant, vous le sentirez tous les jours dans le sac Ă dos sur votre dos). Je fais face Ă des situations similaires de façon assez radicale (mais c’est vrai que pour moi, le problème n’est pas l’extrĂŞme du type trois jours sans nourriture). Quand il fait chaud et surtout Ă©touffant, je ne connais presque pas la faim, et j’ai donc juste besoin d’un demi-Ă trois quarts de litre de soupe dans un sac pour une journĂ©e – gĂ©nĂ©ralement sans pain, etc.
Cependant, dans ce cas, il est nĂ©cessaire de complĂ©ter les vitamines non seulement avec des fruits, mais aussi en comprimĂ©s et, d’autre part, pour traiter avec de l’Ă©nergie corporelle en consĂ©quence ! Le corps devient vraiment dur et la production d’Ă©nergie est Ă©norme, il est donc impossible d’Ă©mettre de l’Ă©nergie inutilement ! Boire… c’est un chapitre beaucoup plus important ! La distribution de liquides est Ă©norme et, par consĂ©quent, l’apport doit ĂŞtre adĂ©quat (c’est Ă©galement le cas du sel). En Guadeloupe, ainsi que dans presque toutes les rĂ©gions caribĂ©ennes et tropicales, l’eau douce peut ĂŞtre très dangereuse par nature (voir chapitre sur la santĂ©). Il n’est pas conseillĂ© de le boire ou de s’y baigner ! L’eau du robinet, l’eau bouillie ou embouteillĂ©e est sĂ»re (un litre et quart coĂ»te environ 1,5€).
GĂ©nĂ©ralement, l’eau est Ă s’agrippent sur les plages dans les toilettes et les douches, sinon le robinet se rencontrera rarement. La plupart des gens prĂ©fèrent l’eau aux boissons sucrĂ©es, au contraire, je prĂ©fère boire du Coca, car, contrairement Ă l’eau, il est possible de boire chaud, et surtout en mangeant, le sucre est une source d’Ă©nergie. La bière est courante et partout — la seule marque caribĂ©enne (originaire de Trinidad) Carib (ressemble Ă de l’urine, mais c’est bon), l’AmĂ©ricaine Heineken et une multitude de marques europĂ©ennes, principalement françaises, belges et nĂ©erlandaises — le tout en trois pour un prix d’environ 3 Ă 5€. Il est en effet essentiel de boire une quantitĂ© de liquides. Avec un sĂ©jour rĂ©crĂ©atif, il sera bien sĂ»r lĂ©gèrement infĂ©rieur, mais avec une mĂ©thode active (cognitive) et une marche constante, la consommation sera par gallon…
J’ai bu environ six litres et plus par jour (et lorsque cette consommation est devenue faible le matin et le soir — 2 fois par jour — d’autres liquides traversent la peau !). Excellent (bien que Ă peine assoiffĂ©) est un rhum local (d’oĂą la canne pas le nĂ´tre), avec une plĂ©thore de marques en trois (sinon plus) couleurs et plusieurs millĂ©simes. Les droits d’accise ne sont pas payĂ©s sur l’alcool ou les cigarettes et les prix sont donc très supportables : sept rhums d’environ 5€ et un paquet de cigarettes Ă partir de 1€ (mais ils sont probablement les seuls produits bon marchĂ© sur les Ă®les).
Dans les eaux douces des rĂ©gions tropicales, il existe une occurrence assez courante de protozoaires amib—parasitaires provoquant une maladie appelĂ©e bilharziose (ou schistosomose). En termes profanes, il s’agit d’une sorte d’inflammation des voies urinaires ou intestinales (cas des CaraĂŻbes), qui peut ĂŞtre arrĂŞtĂ©e, mais le traitement est très difficile (le sĂ©jour Ă l’hĂ´pital est long et soi-disant dĂ©sagrĂ©able). La forme intestinale de la maladie peut entraĂ®ner une cirrhose du foie. L’eau douce ne peut pas ĂŞtre bu ou baignĂ©e dedans, il n’est mĂŞme pas recommandĂ© de manger des fruits avec une peau incomplète ! Il existe des comprimĂ©s (maintenant communĂ©ment en pharmacie) qui ajustent chimiquement l’eau pour qu’elle soit potable, mais ils ne fonctionnent que sur les bactĂ©ries, etc., mais pas sur les parasites, du moins pas sur la bilharzie (schistosomie — sorte de motolique) ! Il reste donc deux options — soit pour faire bouillir correctement l’eau ou la laisser dans un rĂ©cipient scellĂ© pendant trois jours — alors elle sera dangereuse (s’il y a des larves de schistosome, elles ont besoin d’un hĂ´te intermĂ©diaire dans les trois jours.
Les gastĂ©ropodes, s’ils ne le deviennent pas, ils meurent). Seul l’intĂ©rieur de l’Ă®le de Basse-Terre est en sĂ©curitĂ©. En outre, il s’agit de sujets plus ou moins courants, tels que la diarrhĂ©e, le coup de chaleur, les accidents vasculaires cĂ©rĂ©braux, mais aussi le rhume, l’Ă©coulement nasal et la toux, principalement en relation avec une consommation de glace inconsidĂ©rĂ©e et principalement avec des transitions depuis des endroits climatisĂ©s (par exemple marques, etc.). La littĂ©rature met Ă©galement en lumière des Ă©pidĂ©mies occasionnelles de dengue et recommande la vaccination contre la fièvre typhoĂŻde, Ă©ventuellement l’hĂ©patite A virale, le tĂ©tanos et la diphtĂ©rie. La vaccination obligatoire ne s’applique qu’Ă la fièvre jaune et uniquement si vous venez en Guadeloupe de rĂ©gions oĂą elle est apparue. Comme je l’ai mentionnĂ© prĂ©cĂ©demment, il est important de reconstituer les vitamines et le sel, sans sous-estimer la consommation de liquide et de ne pas changer de force.
L’Ă©puisement est beaucoup plus rapide ici que dans notre zone tempĂ©rĂ©e. (Bien que je sois habituĂ© Ă de longues randonnĂ©es avec un sac Ă dos sur le dos, ici le premier jour, j’ai eu une demi-distance et deux jours après, j’ai Ă©tĂ© « battu » et incapable de continuer). La surprise est qu’il n’y a pas de quantitĂ© excessive d’insectes difficiles en Guadeloupe. Bien que les fourmis soient partout plus qu’abondamment, elles ne sont pas particulièrement dĂ©sagrĂ©ables. Les mouches et les moustiques ne vous embĂŞtent presque pas. Les problèmes ne seront que excessifs dans les endroits des mosquĂ©es telles qu’elles ont Ă©tĂ© créées, c’est-Ă -dire près de l’eau oĂą il y a de l’Ă©clairage. Très dĂ©sagrĂ©able est en dĂ©but de soirĂ©e et en soirĂ©e, Ă©tendu et abondamment. a participĂ© au parc du sport de Pointe-Ă -Pitre. Pire encore, c’est la situation des marĂ©cages de mangrovatoriaux situĂ©s près de l’Ă©clairage de la ville (seulement magnifiquement Ă©clairĂ©s derrière la ville).
Au cours de la journĂ©e, il n’y a pas d’insectes sans quelques insectes ou sans monument. Environ quatre fois, j’ai rencontrĂ© un scarabĂ©e gĂ©ant (je n’ai absolument aucune idĂ©e de ce qu’il Ă©tait) — c’est un gros noir comme un demi-canari, son vol est encombrant et très bruyant, il a des ailes courtes et des cĂ´telettes, d’oĂą dĂ©passe sensiblement le cul elligĂ©. Il se nourrit de bois, c’est pourquoi vous le rencontrerez le plus souvent près de divers bourgeons en bois, restaurants de jardin et autres. Il dit qu’il peut mordre une personne très douloureusement, mais il n’est pas offensant. Il y a beaucoup d’animaux dangereux qui vivent dans la mer, mais je n’en ai vu aucun au large de la cĂ´te, Ă l’exception des mĂ©duses, qui peuvent brĂ»ler très mal Ă l’aise.
Cependant, d’après ma propre expĂ©rience en Guadeloupe, je dois dire que « l’Ă©ruption d’ortie » après avoir brĂ»lĂ©, il disparaĂ®t de lui-mĂŞme en environ une heure et la traĂ®nĂ©e rouge est perdue après quelques semaines. En dehors de la brĂ»lure initiale, on ne ressent rien tout le temps. Plus dĂ©sagrĂ©able ne sera que la leçon, surtout pour ceux pour qui ce sera la première expĂ©rience similaire. Parmi les autres animaux dangereux et dĂ©sagrĂ©ables, je veux dire, vous ne rencontrez aucun… Je n’ai pas vu de serpent, d’araignĂ©e ou de quelque chose de ce genre depuis un mois.
Vous entendrez des milliers d’animaux variĂ©s dans les forĂŞts, mais vous n’en verrez presque aucun. Ils vous Ă©vitent, Ă la fois les ratons laveurs et les mangustes, et tout ce que vous rencontrerez Ă chaque tournant, ce sont des crabes dans des dizaines d’espèces, trop timides pour attaquer. Parmi les animaux plus gros, vous ne rencontrez normalement que des oiseaux inoffensifs et des chiens errants, mais mĂŞme chez ceux que je ne les ai pas enregistrĂ©s gĂŞnants, et encore moins attaquer.
Peut généralement être payé les cartes de paiement (de préférence Master Card et Visa), les guichets automatiques sont également courants.
Partir dans les CaraĂŻbes au meilleur prix
Vous rĂŞvez de dĂ©couvrir les plus belles plages des CaraĂŻbes et vous ne savez pas quelle Ă®le choisir pour vos vacances ? Vous avez l’embarras du choix, car toutes rivalisent de beautĂ© et proposent leurs propres attraits. Vous pouvez trouver facilement un trajet au meilleur prix en suivant ce lien : billet d’avion guadeloupe. Si vous hĂ©sitez entre la Martinique, Sainte-Lucie ou la Guadeloupe, sachez qu’il est tout Ă fait possible d’imaginer un programme oĂą vous pourrez dĂ©couvrir les trois Ă®les si vous avez au moins deux semaines de vacances. Si vous en avez moins, il faudra vous contenter d’une Ă®le, voire deux au maximum pour bien profiter et ne pas devoir courir tout le temps.
Choisissez de partir vers Sainte-Lucie si vous ĂŞtes Ă la recherche de calme et d’authenticitĂ©. Vous pouvez aussi choisir la Martinique si vous voulez un endroit plus festif, ou vous pourrez profiter d’immenses plages et de superbes spots pour vous lancer dans la plongĂ©e. Enfin, choisissez la Guadeloupe pour dĂ©couvrir de superbes cascades Ă la suite de grandes randonnĂ©es au milieu d’une nature parfaitement verte. Qu’importe votre choix, vous pouvez ĂŞtre certain que vous passerez des vacances inoubliables.