Ce qui rend un voyage à Tokyo incontournable

« Je planifie lentement un autre voyage au Japon», a-t-il dit. Je pense que beaucoup de gens planifient probablement un voyage similaire et pourraient le faire. quelques astuces et astuces pratiques.Pré-avertissement : certaines choses que je fais assez pour punk. D’innombrables fois, j’ai lu divers conseils sur le site comme « Réservez attentivement à l’avance Tous les logements ! Tout est plein partout ! Ce sera une grosse affaire de trouver un logement ! » Je ne sais pas quel genre de névrosé il écrit ces conseils, mais je ne voudrais pas être à sa place.Ce que je veux dire : Je ne vais pas vraiment vous donner de tels conseils. Vous m’entendrez dire : « Il y a un café à manga dans toutes les grandes villes. C’est bon marché, il y a toujours un endroit, et même s’il s’agit de soirées pyjama plus confortables, c’est une expérience réelle, et au moins une fois par voyage, je recommande d’essayer. » ou « L’avantage de voyager en deux, c’est qu’aucun problème à tout moment s’intégrer dans un love hôtel. Pour la nuit, il sort de 1200 à 2000, ce qui est un prix assez bon et souvent ils sont suffisants. style épique. »

Si ce genre d’astuces vous parle, la suite va vous intéresser. Pour les amateurs de listes de surprises typiques à la découverte du Japon, il y a d’autres articles tout trouvés.

Quand se rendre au Japon ?

Alors, à quelle période partir au Japon ? Plutôt que de vous donner la saison idéale, retournons la question : quand éviter d’y aller ? Voici, point par point, ce qui rend certains mois peu séduisants.

  • Janvier et février : beaucoup d’endroits ferment et les déplacements peuvent devenir compliqués. À moins d’avoir une passion pour les rues désertes, passez votre tour.
  • L’été transforme le Japon en sauna géant. L’humidité flirte avec les 90%. Pour situer, le 12 juin à Tokyo, il fait à peine 18°C, et c’est une chance, car la pluie et le vent rafraîchissent tout. Trois heures du matin, on respire enfin.
  • Le printemps et sa fameuse floraison des cerisiers (Sakura) offrent des températures agréables. Mais attendez-vous à croiser quelques millions de touristes persuadés de vivre un moment d’extase façon dessin animé. Rien de très intime.
  • La Golden Week. C’est LE moment où tout le pays prend ses vacances, les prix s’envolent, les rues débordent, et les files d’attente deviennent absurdes. Les hôtels affichent complet, sans surprise.
  • En décembre, le froid s’installe, et l’omniprésence des décorations de Noël surprend plus qu’elle ne séduit. Si vous affectionnez les fêtes de fin d’année, tentez l’expérience. Mais préparez-vous à voir des Japonais célébrer Noël autour d’un seau de poulet KFC, avec toute la ferveur d’une opération marketing.

En clair, rayez de votre calendrier : janvier, février, avril, la première quinzaine de mai, juillet, août, septembre et décembre.

Vous restez alors avec : mars, la seconde partie de mai, juin, octobre et novembre. À vous de voir si vous préférez l’énergie du printemps, la douceur de l’été ou la magie colorée de l’automne.

Bien sûr, chaque règle connaît ses exceptions. Hokkaido se savoure en juillet. Les amateurs de ski visent l’hiver et les Alpes japonaises. Et pour les adeptes de la foule, la Golden Week reste imbattable… mais il faut aimer les bains de foule.

Quand acheter un billet ?

Le billet d’avion, c’est le nerf de la guerre. Si vous visez les tarifs les plus avantageux, mieux vaut anticiper. Voici comment ça se joue dans les faits :

  • 5 mois avant le départ : c’est souvent là que les prix commencent leur ascension. Si une promotion devait tomber, vous l’auriez déjà vue. On trouve encore pas mal de bons plans juste sous la barre des 14 000, parfois en décalant sa ville de départ. C’est la période à privilégier.
  • 3 mois à l’avance : le choix se rétrécit. On se satisfait d’un billet autour de 15 000, sauf à tomber sur une compagnie polonaise, italienne ou turque qui ferait baisser la note.
  • 2 mois à l’avance : ça se complique. Les vols flirtent avec les 20 000. Pour alléger la facture, viser un départ mercredi ou jeudi fait parfois économiser 3 000, mais le retour se cale souvent sur le week-end.
  • 1 mois avant le départ : les prix dépassent les 20 000 et il faut parfois accepter de partir un mardi. À ce stade, un vol direct depuis Vienne avec Austrian Airlines devient un bon compromis, si l’on en trouve encore.

Petite astuce : profitez des jours fériés de votre pays. Par exemple, si le 28 octobre tombe un jeudi ou vendredi, cherchez un départ à cette date. Parfois, le hasard offre d’excellentes surprises.

Où atterrir au Japon ?

Vous savez quand partir, quand réserver. Mais où poser ses valises ? Pour un séjour d’une semaine, inutile de vouloir tout voir. Deux grandes options se dégagent : KIX (Kansai International, tout près d’Osaka, accessible en train en une heure et demie de Kyoto) ou l’un des aéroports de Tokyo. Ces deux villes permettent déjà un bel aperçu, avec quelques escapades sur les côtés.

Pour un voyage plus long, le terrain de jeu s’élargit. Vous pourrez explorer plusieurs villes japonaises et, dans ce cas, il est judicieux d’arriver par un aéroport et de repartir par un autre. On gagne une demi-journée de transport, et le temps, on le sait, n’a pas de prix.

Les principaux aéroports desservent : Fukuoka, Osaka, Nagoya, Tokyo, Sapporo et Okinawa. Précision pour Okinawa : si vous en repartez, attendez-vous à devoir reprendre un vol intérieur. Pour Nagasaki ou d’autres petites villes, les prix s’envolent vite.

Adaptez votre itinéraire selon la saison. Au printemps, partez du sud vers le nord pour profiter du réchauffement progressif. L’été, faites l’inverse. Exemple vécu : fin septembre, t-shirt à Fukuoka, puis arrivée sous la neige à Sapporo en octobre. Un décalage qui laisse des souvenirs… et parfois quelques regrets de planification.

Où acheter son billet ?

Vous avez le timing, la destination. Il reste à trouver LE billet. Plusieurs moteurs de recherche existent : Skyscanner, Pelican, et bien d’autres encore. Mais Momondo tire son épingle du jeu. Sa base de données est solide, et il propose la recherche sur plusieurs villes de départ simultanément. Certes, la fonctionnalité n’est pas toujours parfaite, mais elle fait gagner un temps précieux.

Comment ça marche ? Sélectionnez plusieurs aéroports ou villes séparés par des virgules. Attention toutefois à ne pas dépasser cinq entrées, sinon ça coince. Même chose pour les arrivées : trop de choix, et le système s’y perd. Et gare aux clics de souris trop enthousiastes… parfois, le site fait la sourde oreille. Mais dans l’ensemble, c’est un outil efficace, parole de routard.

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Grâce à cette méthode, on peut comparer Prague-Tokyo, Vienne-Tokyo ou Cracovie-Tokyo d’un seul coup d’œil. Si Vienne sort gagnante, la suite de la recherche s’oriente sur VIE–TYO et FUK–PRG, KRK ou VIE pour le retour. Pas de combinaison satisfaisante ? On remplace Tokyo par Nagoya, on change les paramètres, et on recommence. Ce travail demande un peu de patience, mais il optimise chaque étape du voyage.

Petit conseil : actuellement, les compagnies italiennes et polonaises proposent souvent de bons tarifs. Si une grande ville polonaise est accessible pour vous, n’hésitez pas à inclure cette option dans vos recherches.

Évitez les trajets dépassant vingt heures : mieux vaut consacrer un peu plus de temps à chercher qu’à s’épuiser dans les aéroports. En règle générale, comptez une escale pour Tokyo ou Osaka, et deux pour les autres villes japonaises.

Pour illustrer : cette année, mon trajet a duré 20 heures de Prague à Rome via Séoul et Fukuoka, et 16 heures au retour de Tokyo à Milan puis Prague. Le tout pour environ 14 000, ce qui reste compétitif. La veille, les prix avaient déjà gonflé de plusieurs milliers. Comme quoi, chaque jour compte.

À suivre : tous les détails pratiques à régler avant le départ, permis de conduire international, Japan Rail Pass et petites formalités qui changent tout une fois sur place.

À Tokyo, chaque choix de date, de vol, d’aéroport, façonne une expérience unique. Celui qui s’aventure hors des sentiers battus découvre un Japon inattendu, loin des itinéraires figés. Alors, prêt à tracer votre propre chemin jusqu’à Tokyo ?